20 février 2011
116 / DANS PARIS AU XXe SIECLE DE J.VERNE, ON LIT...
"Cet homme, élevé dans la mécanique, expliquait la vie par les engrenages ou les transmissions; il se mouvait régulièrement avec le moins de frottement possible, comme un piston dans un cylindre parfaitement alésé; il transmettait son mouvement uniforme à sa femme, à son fils, à ses employés, à ses domestiques, véritables machines-outils, dont lui, le grand moteur, tirait le meilleur profit du monde. Vilaine nature, en somme, incapable d'un bon mouvement, ni d'un mauvais, d'ailleurs ; il n'était ni bien ni mal, insignifiant, souvent mal graissé, criard, horriblement commun."
JULES VERNE, Paris au XXe siècle, Hachette, pages 51 - 52
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