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Le site du scythe qui cite

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27 novembre 2007

35 / DANS LE PISSEUR DE COPIE DE M. SPARK, ON LIT...

"L'amour, à mon avis, a pour origine le coeur, et la haine provient fondamentalement des principes" SPARK, Le Pisseur de copie, traduit par Léo Dilé, Stock, bibliothèque cosmopolite, page 164
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27 novembre 2007

34 / DANS THOMAS L'IMPOSTEUR DE COCTEAU, ON LIT...

" Un homme vraiment profond s'enfonce, il ne monte pas. Longtemps après sa mort, on découvre sa colonne enfouie, d'un seul bloc ou, peu à peu, par morceaux. Tandis que ces grandes intelligences médiocres, faites de coup d'oeil et d'ironie, montent sans...
25 novembre 2007

33 / DANS LA VIEILLE FILLE DE BALZAC, ON LIT...

"Elle avait presque l'air d'une femme comme il faut en n'étant qu'une femme comme il en faut" BALZAC, La Vieille fille, GF, page 194
25 novembre 2007

32 / DANS LES CARNETS DE PROUDHON, ON LIT...

"Le gouvernement n'a tort que si on le place sur un terrain plus élevé sur lequel il n'est pas tenu de comparaître, mais bien de disparaître" PROUDHON, Carnets, Rivière (édition 1960), page 84
25 novembre 2007

31 / DANS LE SILENCE DU CORPS DE CERONETTI, ON LIT...

"Les combats de gladiateurs supprimés, les chrétiens instituèrent la vie conjugale" CERONETTI, Le Silence du corps, trad. André Maugé, Albin Michel, page 217
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25 novembre 2007

30 / DANS LE JOURNAL DE ZWEIG, ON LIT...

"La part de sommeil a diminué dans le monde" ZWEIG, Journaux 1912-1940, Belfond, page 63
25 novembre 2007

29 / DANS LA CORRESPONDANCE DE FLAUBERT, ON LIT...

"Je n'estime profondément que deux hommes : Rabelais et Byron, les seuls qui aient écrit dans l'intention de nuire au genre humain et de lui rire à la face" FLAUBERT, Correspondance, Pléiade, tome I, page 28
25 novembre 2007

28 / DANS ILLUSIONS PERDUES DE BALZAC, ON LIT...

"Madame de Bargeton se trouvait alors âgée de trente-six ans, et son mari en avait cinquante-huit. Cette disparité choquait d'autant plus que monsieur Bargeton semblait avoir soixante-dix ans, tandis que sa femme pouvait impunément jouer à la jeune fille,...
25 novembre 2007

27 / DANS LE MIROIR DU CIEL NATAL DE RODENBACH, ON LIT...

"Tout s'adoucit et tout s'ouateEst-ce qu'il y a des maladesPour que si doucement tintent les clochesAu-dessus de la ville?" RODENBACH, "Les femmes en mante" in Le Miroir du pays natal, Charpentier (ed. de 1898), page 42
25 novembre 2007

26 / DANS LES CARACTERES DE LA BRUYERE, ON LIT...

"Il s'est trouvé des filles qui avaient de la vertu, de la santé, de la ferveur, et une bonne vocation, mais qui n'étaient pas assez riches pour faire dans une riche abbaye vœu de pauvreté" LA BRUYERE, Caractères, chapitre "De quelques usages", Garnier...
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