20 juin 2009
88 / DANS UN ORAGE IMMOBILE DE F.SAGAN, ON LIT...
"Quand il souriait, ses yeux se plissaient, son visage se détendait complètement, il avait l'air de la jeunesse même. Il était désarmant, et je fus désarmé comme tous les hommes ce jour-là... alors que nous aurions dû, au contraire, nous jeter sur nos...