20 juin 2009
87 / DANS LES REVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE DE ROUSSEAU, ON LIT...
"Le mal que m'ont fait les hommes ne me touche en aucune sorte ; la crainte seule de celui qu'ils peuvent me faire encore est capable de m'agiter ; mais certain qu'ils n'ont plus de nouvelle prise par laquelle ils puissent m'affecter d'un sentiment permanent, je me ris de toutes leurs trames et je jouis de moi-même en dépit d'eux"
ROUSSEAU, Les Rêveries du promeneur solitaire 8e rêverie, Livre de poche, p. 164
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